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7 de novembro de 2011

Fortificação de Thiers

Muita gente que não mora na França, não conhece a história e nunca ouviu falar sobre o Muro de Thiers ou Recindo de Thiers (Mur de Thiers ou Enceinte de Thiers). Na minha école, a história do Muro e o seu entorno atualmente é um assunto muito corrente na disciplina de projeto, principalmente o estudo dos impactos causados por esse muro.

Para quem não sabe, a cidade de Paris já teve alguns limites (fortificações) que foram abrangidos ao decorrer do tempo, o último desses limites, o mais externo, foi chamado de Mur de Thiers, uma espécie de muralha que cercou Paris, um recinto construído entre 1841 e 1844 sob uma lei promulgada pelo governo do primeiro-ministro francês, Adolphe Thiers que tomou quase 7.802 hectares ao longo da Boulevards de Maréchaux e Boulevard Périphérique, para proteger Paris, temendo a passada Batalha de Paris de 1814.



A muralha tinha 33 km (21 milhas) Caixa de comprimento, coloquialmente conhecido como "a fortaleza", consistiu de 94 baluartes, 17 portas (francês: "portes", cruzamentos principais), 23 cruzamentos menores (em francês "barrières"), oito pontos de passagem de trem, cinco pontos de passagem de rios ou canais e oito poternas. Os únicos restos existentes são os Peupliers Poterne des ("postigo dos choupos") entre a Porte de Gentilly e Porte d'Italie perto de onde os Bievres entraram em Paris, número um "baluarte" no meio do Porte de Bercy, bastião número 45 no Porte de Clichy, uma parede na Porte de la Villette, parte na Porte d'Arcueil e várias outras pequenas partes.

Tendo-se tornado inútil devido aos avanços na tecnologia militar, as fortificações foram destruídas a partir de 1919. Sua localização se tornou terrenos baldios, muitas vezes referida como a "zona". Foi progressivamente revitalizado a partir de 1930 pela construção de residências para os pobres e instalações desportivas. A forma das fortalezas antigas são marcadas em vários locais na topologia de estradas para esta área.

A "zona" não era existia no local anteriormente ocupado pela parede, mas em uma faixa de terra onde não era permitida a construção em frente à parede, um fosso e um declive que mede 250 metros de diâmetro. Foi designado como uma área onde a construção não foi autorizada e foi ocupada por favelas no fim do século XIX, com o abandono de sua função militar.



Texto da apresentação falando um pouco sobre a "Zone":

La zone a été une partie autour des murs de Thiers, les fortifs. Ces murs ont eu un rôle stratégique de protection militaire de la ville de Paris. La zone était un espace de 250 mètres de largeur à partir de l'extérieur des fortifications, une zone "non-aedificandi" ou non constructible, qui avait, avant la construction des murs de Thiers, des arbres et des hameaux qu'étions retirés du site pour la protection de la ville. Beaucoup d'ans avant que les murs étions cassés, lorsque le rôle de protection que les murs avaient a été perdu, la zone a vu ses terrains être occupés en raison de l'occupation prussienne à Paris et aussi de grands travaux qui ont été faits à cause du second Empire et en raison de la révolution industrielle, environ 1871. Ce contexte était de spéculation immobilier et d'exode rural, avec la transformation des paysans en prolétariat urbain. La zone a été occupée par une population pauvre, qui a été appelé, d'une manière péjorative, des "zonards". Ces gens ont fait des bidonvilles dans la zone, avec des maisons qu'étions souvent des habitations précaires et insalubres faites à partir des matériaux récupérés. Ces bidonvilles n'avaient aucune infrastructure, sans électricité, ni eau, ni toilettes. Les zoniers ont fait partie de la vie économique parisienne, avec beaucoup de chiffonniers, qui n'ont pas seulement utilisé les matériaux pour la vente, mais aussi pour leurs maisons, en construisant des maisonnettes faites de planches, carreaux de plâtre etc. La zone a eu aussi un rôle d'espace de loisirs, elle a donnée espace pour les gens pique-niquer, se promener, autant qu'elle était un espace mal vue à cause de ses mauvaises conditions d'habitation. L'occupation de la zone s'a développée pendant encore beaucoup de temps, en arrivant au début du 20e siècle avec 30 mille personnes environ. Un peu près de cette époque là le numéro des personnes dans la zone a commencé à tomber, principalement dans les bidonvilles, car ils ont réaménagé les personnes plus pauvres pour autres zones plus loin de Paris, en disant comme raison l'insalubrité des maisonnettes. Pendant ces temps il a eu beaucoup d'expropriations, quelques n'ont pas eu même une indemnisation. Après, avec la première guerre mondiale et la crise du logement, des familles y sont allées à des HBM dans les boulevards des Maréchaux, sur l'emplacement de l'ancienne enceinte. A partir de 1943 beaucoup d'autres ont été expulsé à cause du projet du boulevard périphérique et, enfin, aux années 50, le numéro des habitants de la zone en conditions précaires est devenu vraiment très petit, avec quelques proches de ses limites. Aujourd'hui on peut encore voir quelques restes des caractéristiques de la zone dans le paysage d'où elle a été situé, environ le terrain où on voit aujourd'hui le boulevard périphérique de Paris.


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